La Justice triomphe (?)
La Justice triompherait-t-elle ?
Les valeureux internautes qui se fraient un passage à travers la jongle du net me soutiennent, et je les en remercie ; j'ai débloqué la situation avec la Poste.
La Poste.
Le tocard du bureau de Poste.
J'avais écrit sur mon mandat l'adresse de l'illustratrice de la manière suivante : "HIGASHIGUO 2-31-9".
En regardant de près l'accusé de réception de l'employé du bureau de Poste, je constate que ce bout de l'adresse s'est transformé en "HIGAHIGUO 2319".
Et bien ce gars-là, l'employé, il le croiera ou pas, mais "HIGASHIGUO 2-31-9" et "HIGAHIGUO 2319", c'est différent. Parce que "2-31-9", pour un Japonais, ça signifie "numéro 9 à l'intérieur du paté de maisons numéro 39 dans la 2ème partie du quartier".
Et "2319", cela signifie "2319" tout court.
Donc forcément, le mandat n'est pas arrivé.
Et pendant deux mois l'illustratrice a attendu.
Patiemment.
Poliment.
De mon côté, j'ai attendu.
Patiemment.
Confiant.
Mais ni l'un ni l'autre nous n'avons reçu quoi que ce soit, car l'employé de la Poste avait été incapable d'écrire correctement un bout de numéro d'adresse qui était sous son nez, je dis bien sous son nez (l'usager qui envoie un mandat écrit à la main l'adresse du mandat sur un formulaire).
Bien sûr ni l'un ni l'autre nous n'avons reçu d'avertissement ou d'explication.
Et pas plus que dans le cas de la jeune internaute qui a laissé un message sur ce modeste blog hier, il n'y a eu de mot d'excuses.
Dans un certain temps, je pense qu'il y aura une libéralisation des services postaux. Ce jour-là, tous les gens qui ont eu des problèmes de ce type avec la Poste se les rappelleront.
De mon côté, je me contente pour l'instant de recontacter l'illustratrice pour lui signaler que j'ai débloqué la situation.
Les valeureux internautes qui se fraient un passage à travers la jongle du net me soutiennent, et je les en remercie ; j'ai débloqué la situation avec la Poste.
La Poste.
Le tocard du bureau de Poste.
J'avais écrit sur mon mandat l'adresse de l'illustratrice de la manière suivante : "HIGASHIGUO 2-31-9".
En regardant de près l'accusé de réception de l'employé du bureau de Poste, je constate que ce bout de l'adresse s'est transformé en "HIGAHIGUO 2319".
Et bien ce gars-là, l'employé, il le croiera ou pas, mais "HIGASHIGUO 2-31-9" et "HIGAHIGUO 2319", c'est différent. Parce que "2-31-9", pour un Japonais, ça signifie "numéro 9 à l'intérieur du paté de maisons numéro 39 dans la 2ème partie du quartier".
Et "2319", cela signifie "2319" tout court.
Donc forcément, le mandat n'est pas arrivé.
Et pendant deux mois l'illustratrice a attendu.
Patiemment.
Poliment.
De mon côté, j'ai attendu.
Patiemment.
Confiant.
Mais ni l'un ni l'autre nous n'avons reçu quoi que ce soit, car l'employé de la Poste avait été incapable d'écrire correctement un bout de numéro d'adresse qui était sous son nez, je dis bien sous son nez (l'usager qui envoie un mandat écrit à la main l'adresse du mandat sur un formulaire).
Bien sûr ni l'un ni l'autre nous n'avons reçu d'avertissement ou d'explication.
Et pas plus que dans le cas de la jeune internaute qui a laissé un message sur ce modeste blog hier, il n'y a eu de mot d'excuses.
Dans un certain temps, je pense qu'il y aura une libéralisation des services postaux. Ce jour-là, tous les gens qui ont eu des problèmes de ce type avec la Poste se les rappelleront.
De mon côté, je me contente pour l'instant de recontacter l'illustratrice pour lui signaler que j'ai débloqué la situation.